Nos clients parlent de nos coachings mieux que nous ne saurions le faire. Découvrez ci-dessous quelques mots échangés avec Sébastien Allard, directeur prévention de VCF Lyon à l’issue de son coaching. Bonne lecture !
Sébastien, tu as été coaché par JBM Management d’avril à juillet 2016. Qu’est-ce qui a été à l’origine de ce projet ?
J’avais besoin de prendre confiance en moi, et de développer ma légitimité. Mon n+1 m’a proposé un coaching lors de mon entretien annuel. Je l’ai pris de manière très positive, avec intérêt.
Concrètement comment s’est passé le coaching ?
Nous avons fait 8 entretiens, plus le travail personnel. Le premier a été aux bureaux de JBM, ensuite, surprise, les autres se sont déroulés au parc de la tête d’or, en marchant. Marcher me permettait de me projeter plus facilement qu’assis en regardant le coach face à face. Pour l’anecdote, en plus du temps de questionnement et d’échanges, chaque séance contenait aussi plusieurs exercices, parfois étonnants, comme par exemple un qui m’a beaucoup marqué, découvrir que j’étais capable de choses qui me semblaient impossibles en reliant un point A à un point B 400 mètres plus loin, les yeux fermés sans « guidage ».
Qu’est-ce que le coaching a rendu possible dans tes fonctions ?
Il m’a permis de prendre du recul sur mes zones d’inconfort et d’y trouver moi-même des solutions en utilisant une grande variété d’approches. J’ai par exemple compris qu’une approche sociologique stratégique était indispensable et bénéfique pour travailler ensemble en entreprise alors que je n’y voyais que des aspects négatifs, manipulateurs. Sur la fin du coaching, à partir de la 5 ou 6e séance, je me sentais bête car la solution à ma problématique me semblait évidente dès que j’avais fini de l’énoncer ! (NdA : C’est pour nous toujours une grande fierté que de devenir inutiles !)
Au global dans quelle mesure est-ce que le coaching a répondu aux attentes de ta hiérarchie ?
J’ai déjà atteint mes objectifs perso. Mon supérieur y a vu une évolution qui répondait à ses attentes de développement de mes compétences. L’entretien tripartite de clôture (NdA : c’est l’entretien où le coaché fait un retour de son expérience au prescripteur. Le coach n’intervient qu’à la demande du coaché, l’ensemble des entretiens étant sinon entièrement confidentiel) lui a aussi permis de prendre conscience de ce que j’avais vécu pendant le coaching, et aussi sans doute de problématiques qui pouvaient concerner d’autres personnes dans l’entreprise.
Pourquoi recommandes-tu JBM ?
Ce qui est contradictoire, c’est qu’au début de notre premier entretien, tu m’as dit de faire attention à ne pas choisir un coach avec qui le contact passait trop bien… (NdA : c’est en effet un point d’attention que nous proposons souvent à nos clients : si le coaché est libre de choisir son coach, il risque de tendre vers celui qui l’amènerait le moins hors de sa zone de confort) du coup j’ai pensé ne pas partir avec toi ! Tu n’as jamais été donneur de leçons, je ne sais pas si tous les coachs sont comme ça, c’est quelque chose que j’ai beaucoup apprécié, car ça m’a permis de me sentir très en confiance.